La BERLAIRE en VIEILLEVIGNE 
Dès 1434, Hubelin Chasteigner, sire de Bougon, possédait l'Esperonnière qui devint
    le chef-lieu de la châtellenie. Autour de ce nouveau château de Bougon, — subsistant
    encore — s'étendaient de beaux bois futaies. Les trois métairies de la Rouaudière,
    du Pas-Chesneau et de Beauregard, deux étangs avec leurs moulins, un moulin à vent,
    de vastes prairies et quelques bonnes vignes complétaient le domaine seigneurial
    de IBougon aux siècles derniers (Déclaration de Bougon en 1580, 1679 et 1753) (abbé
    Guillotin de Corson).Mais aussi de la Berlaire en Vieillevigne (qui ne s’appellait
    pas encore de ce nom), et il est probable que le bourg était à l’ouest à environ
    2km et s’appelait BERLAIRE, il reste en un lieu qui s’appelle encore aujourd’hui
    le « Chateau » les traces d’un logis conséquent et spécialement le porche, . dont
    vous pouvez voir des photos IcI.